Grégory Le Floch parle de son deuxième roman, De parcourir le monde et d’y rôder

« Le début du roman commence comme un avertissement qui annonce un peu la couleur. Celui qui lit l’avertissement comprend que l’on arrive dans un monde déroutant, surréaliste, avec des personnages qui partent comme des fusées… »

Vidéo 1/2 : où il est question de jeu avec le lecteur, de Thomas Bernhard, de destin, de pythies boiteuses et d’oracles ratés.

Vidéo 2/2 : où il est question de László Krasznahorkai et d’Orly Castel-Bloom, d’arc narratif et de psychologie des personnages.