Fantaisies guérillères - Satellites - Christian Bourgois éditeur

Fantaisies guérillères – Satellites

Guillaume Lebrun

En ce début de xve siècle, tout est chaos au Royaume de France : Englishes, Armagnacs et Bourguignons n’en finissent pas de s’écharper. Pour Yolande d’Aragon, il n’est plus temps de rester avachi dans les palais. Puisqu’une prophétesse est attendue pour couronner le dernier Dauphin vivant, la fulminante duchesse décide de hâter le destin. En secret, elle crée une école où quinze petites Jehanne deviendront des Guérillères accomplies. Mais la plus prometteuse d’entre elles se révèle bien différente de ce que Yolande imaginait.
Porté par une langue inouïe d’inventivité, ce premier roman est une réécriture endiablée d’un des plus illustres épisodes de l’histoire de France.

Lauréat du Prix Libr’à Nous 2023
dans la catégorie littérature francophone

La presse en parle

« Cette fantaisie-science fiction-médiévale-flamboyante de Guillaume Lebrun surprend par son sujet autant qu’il ravit par son audace et sa créativité langagière. Franglais, ancien français, réécriture de paroles de Céline Dion et de Mylène Farmer s’entrecroisent pour une lecture jubilatoire, instillant une veine rabelai sienne à cette satire épique, joyeusement queer. »
Têtu

« L’imagination de Guillaume Le brun est sans limite. Ce qui rend l’intrigue touffue, peut-être à l’excès, mais lui vaut aussi sa grande subtilité. Car ce roman s’achève comme un tableau de Brueghel sur l’Apocalypse, dans un feu d’artifice plein de satire et de folie, puisque le combat final se joue adroitement de l’édifice de notre monde et de la nature des mythes qui le fondent. »

Télérama

» La langue unique de Guillaume Lebrun, mélange de vieux français, d’anachronismes et d’emprunts à l’anglais, étonne et séduit jusqu’à la dernière de ces Fantaisies guérillères, premier roman féministe qui malmène avec humour quantité d’idées reçues. »

Lire

« Jeanne d Arc a enfin trouvé un écrivain à la mesure de sa flamboyance. »
L’Obs

« Un roman jouissif, regard inattendu sur la « fabrique » de Jeanne d’Arc. »
L’Humanité

« Guillaume Lebrun, dont on apprend qu’il élève des insectes dans le sud de la France (sic), ne chipote pas sur la démesure, entre Monty Python : Sacré Graal! et Lovecraft. Savoureux »
L’Express