Le Métro blanc et autres histoires

Le Métro Blanc et autres histoires

William S. Burroughs

« Insatisfaction complète de tout ce que j’ai fait comme écriture… si l’écriture n’a pas le danger et l’immédiateté, l’urgence de la tauromachie, elle n’a rien à faire avec la façon dont je la conçois… appareil d’enregistrement imparfait qui reçoit des bulletins inexacts… je dois atteindre le Front. » William Burroughs
En marge de l’œuvre romanesque de Burroughs, Le Métro blanc rassemble des textes rares, publiés dans de petits magazines underground éphémères. Burroughs a en effet inventé un contre-journalisme destructeur, parasitant et piratant les tics des grands magazines. Complété de deux textes plus personnels, Cobble Stone Gardens – souvenirs en forme d’hommage à ses parents – et Journaux de retraite, où il mêle rêves et réflexions, ce volume constitue ainsi une mise en perspective de son œuvre la plus radicale, produite à coups de cut-ups et autres procédés d’attaque.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Mary Beach, Claude Pélieu-Washburn, Gérard-Georges Lemaire.