Parages des voies mortes
Parages des voies mortes
William S. Burroughs
« « Qui est-ce ? » Il semble que Burroughs pose cette question non seulement à tous ses personnages mais à toutes ses phrases, à tous ses mots. Chacun a la possibilité de se déguiser, de changer, et c’est l’une des raisons pour lesquelles Parages de voies mortes est à tout point de vue excitant. C’est pourquoi aussi le roman peut se terminer comme il commence, à un rien près, un rien qui est burroughsien en diable. » (Mathieu Lindon, Libération)
« Le bizarre avoisine le louche, l’ambigu côtoie le marginal, le sens coexiste avec le non-sens, le labyrinthe opère en cercle. Kim Carsons, le narrateur (presque un double de Burroughs), existe-t-il ? Cette lancinante question se pose à chaque page, comme pour nous déconcerter. Narquois, l’auteur se déguise sous la luxuriante apparence du verbe, en même temps qu’il explore pour notre inconfort les zones psychiques les plus interdites. » (Patrick Serex, 24 Heures)
« Le bizarre avoisine le louche, l’ambigu côtoie le marginal, le sens coexiste avec le non-sens, le labyrinthe opère en cercle. Kim Carsons, le narrateur (presque un double de Burroughs), existe-t-il ? Cette lancinante question se pose à chaque page, comme pour nous déconcerter. Narquois, l’auteur se déguise sous la luxuriante apparence du verbe, en même temps qu’il explore pour notre inconfort les zones psychiques les plus interdites. » (Patrick Serex, 24 Heures)
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Sylvie Durastanti.
Informations techniques
- ISBN : 9782267020175
- Date de parution : 2/3/2009
- 442 pages
- Prix : 10,15 €